Fiche-moi la paix, ô mal de gorge, suis déjà débileTu réclamais l’insomnie : me voilà :Une douleur maligne recouvre mon corps, vileLes oiseaux chantent dehors, je reste iciPendant que l'eau se teint à camomilleDans la tasse chaude, accompagnant le propolis
Viennent chasser ma fièvre, cette salope insensibleMa Douleur, va-t-en; ne viens plus ici

Um comentário:
Essa gente boa oulipiana espalhada pelo país e sem trocar figurinhas. Dia desses vamos reunir essa turma? Bora?
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